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Récap Elektric Park : une 11e édition EPKable !

Il aura fallu attendre deux ans pour que cet incontournable des festivals électro français, puisse fêter son 11e anniversaire. Pour son grand retour, le festival francilien " Elektric Park " avait préparé une double dose de musique en proposant non pas un, mais deux jours de fête au sein de sa maison : l’Ile des Impressionnistes.

En effet, les 4 et 5 septembre derniers, des milliers de festivaliers ont pu se réunir pour profiter de grosses pointures de la sphère électronique comme Joachim Garraud, créateur du festival, Bob Sinclar, Kungs, Mandragora, Dr. Peacock, Polo & Pan, Vladimir Cauchemar, Billx, Klingande ou encore Ofenbach.

Une programmation très variée qui aura conquis les cœurs et les oreilles de nombreux chanceux présents pour cet événement de grande ampleur. 

La variété au rendez-vous : Qui dit deux fois plus de jours, dit deux fois plus d’artistes. Comme à son habitude, l’Elektric Park Festival a joué la carte de l’éclectisme.

Un choix gagnant puisque le public a pu s’extasier devant des styles de musique électro très différents allant de la hardstyle à la trance, en passant par la Bass Music.

En effet, l’évènement s’est déroulé autour de 5 scènes aux décors simples mais très efficaces. La Yellow Stage (mainstage) s’est chargée d’accueillir les plus gros noms et a pu être garnie de styles très variés.

De son côté, la Red Stage a vu défiler des artistes hardstyle, hardcore ou hardtek tels que Sickest Squad, Sefa ou Miss K8 pour le plus grand plaisir de ceux qui aiment taper du pied.

La Blue Stage, elle, s’est émerveillée sous les gros drops de bass music de Funtcase, Basstrick, Aazar et bien d’autres.

La trance était le personnage principal de la Orange Stage où des grands noms comme Belik Boom, Rakoon ou Omiki ont ravagé l’air francilien de basses galopantes et de drops psychédéliques.

Pour finir, la Black Stage (de TribudeNuit et Pioneer) s’est régalée avec ses artistes variés tels que Stone van Brooken, David Avril, Shred b2b Sayto, Loic Couppey, Zalenn et bien d'autres !

Petite parenthèse pour évoquer également la scène Back Stage où des DJs comme Un*Deux, Anoraak et Jean Tonique ont ambiancé la face cachée des décors du festival. Et quel émerveillement de voir l’accueil qu’a réservé le public aux nombreux artistes présents. Alors que la plupart des stages avaient un style bien défini, la mainstage, elle, se devait de varier sa palette musicale en proposant un large éventail de genres.

C’est tout ce qui fait la beauté de ce festival : écouter les styles que l’on aime le plus, en découvrir des nouveaux et tomber amoureux de certains artistes qui paraissaient si lointains de nos habitudes. 

Si on pouvait s’attendre à un monopole du public de la part de la Main, ce dernier a joué le jeu et était présent sur toutes les stages, permettant ainsi à des artistes moins confirmés de vivre une vraie expérience de festival. 

Une ambiance estivale au rendez-vous : Il faut dire qu’on ne prévoyait pas un festival éteint.

Au contraire, l’euphorie des festivaliers était attendue et elle a effectivement répondu présent. Il faut dire que pour beaucoup d’entre eux, c’était la rentrée en matière de festival puisqu’il s’agit ici, d’un des premiers grands événements électro franciliens de l’année. 

C’est dans un décor idyllique, entouré d’espaces verts, d’eau, de manèges à sensations fortes, d’énormes panneaux LED pour des scènes comme la Mainstage ou encore de grands miroirs pour la Black Stage, que les milliers de festivaliers ont pu profiter d’un décor concocté à la perfection par les équipes du festival.

Comment ne pas « s’enjailler » alors que tous les éléments sont là pour faire en sorte que le week-end musical se déroule sans encombre ? 

Des poings levés, des jambes qui tapent le sol, des yeux fermés pour s’envoler vers d’autres univers, des sourires pas cachés par les masques, des danses allant des plus habiles aux plus basiques et des oreilles enivrées de mélodies, de kicks et de basses : voilà les ingrédients de la recette idéale pour un festival réussi. 

Quel mot à part PARFAIT, peut-on employer pour conclure ce recap ?
Seul point négatif : il reste un an pour que le festival revienne.

Et on a hâte de vous y retrouver tous l’année prochaine pour une 12e édition qui s’annonce encore plus forte ! #EPK2022

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