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EDC Las Vegas 2021 : ça nous avait manqué !

Ça faisait longtemps que l’on attendait le come-back de cet ogre de l’événementiel. Considéré comme l’un des festivals de musique électronique les plus importants du monde, l’EDC las Vegas faisait son retour ce week-end dans la ville du péché.

Alors, oui, on avait été légèrement rassasié avec l’édition virtuelle « Rave-a-Thon » en 2020, où des grandes stars s’étaient relayée devant les écrans des nombreux impatients qui n’en pouvaient plus d’attendre, mais il faut dire que l’ambiance inimitable du festival nous avait particulièrement manqué. 
 
25 ans : les choses en grand
Cette fois-ci, pas d’édition virtuelle. Un 25e anniversaire ça se fête et en beauté. Comme à son habitude, Insomniac Events n’y est pas allé de main morte quant aux décors et à l’ambiance mise en place pour célébrer ce quart de siècle.
En tout, neuf stages (kineticFIELD, cosmicMEADOW, circuitGROUNDS, neonGARDEN, bassPOD, wasteLAND, quantumVALLEY, stereoBLOOM et Art Cars) se sont partagées la vedette et le nombre incalculable d’artistes présents pour cette édition si spéciale.

Inutile de vous rappeler l’ensemble de la programmation, et puis cela prendrait trois pages, mais pour vous en citer quelques-uns, on a pu retrouver des grosses pointures telles que The Chainsmokers, Don Diablo, Excision, Flosstradamus, Paul van Dyk, Tchami, Alan Walker, DJ Snake, Martin Garrix, Oliver Heldens, Vini Vici, Kaskade, Kygo et j’en passe.

Mais vous le savez déjà, chez Tribu de Nuit, on raffole de la délicatesse qui nous est offerte par la Bass Music, et pour le coup, on a été servi : Zomboy, Subtronics, Slander, Saymyname, Wooli, Svdden Death, Gammer, Atliens, Peekaboo, la liste est presque infinie. Une chose est sûre, pas de place pour la déception avec ce festival d’une ampleur phénoménale qui nous a sublimé les yeux pendant trois jours.  

Une ambiance magique
Comment décrire la claque visuelle et sonore qui nous a été gentiment donnée par le festival ? Un monde de couleur s’est ouvert à nous dans l’enceinte d’un festival animé par les milliers de festivaliers venus eux aussi en couleur pour cet anniversaire inédit. Certes, de nombreux pickpockets ont malheureusement été dénoncés sur les réseaux sociaux, mais cela n’entache guère la dimension au niveau du spectacle offert par l’EDC las Vegas.

Chaque stage semblait plus sublime que la précédente. Si certaines imposaient la grandeur à travers des décors à couper le souffle, d’autres étaient dans la simplicité (attention, simplicité malgré tout fantastique). C’est l’une des qualités de ce festival. Il permet d’intégrer un monde unique et uni sous une atmosphère particulière et où la variété des scènes et des genres de musique électro proposés, offre la possibilité à une infinité de personnes différentes de venir profiter d’un lieu musical sacré. 

Et c’est ce que l’on a pu observer. Une variété de personnalités, de styles vestimentaires qui apportent leur pierre à ce fabuleux édifice qu’est l’EDC las Vegas. 

Édifice qui, cette année, était forcément accompagné de manèges à sensation, car que serait un festival, et surtout un festival à las Vegas, sans manèges ? L’occasion de reposer les tympans quelques minutes et de vivre le festival avec de nouvelles sensations et émotions qui semblaient difficiles à maîtriser par moment. D’autre part, l’EDC se transforme en musée à ciel ouvert.

Oui la musique, c’est de l’art, mais le festival ne s’arrête pas à ça et met en place des statues et des structures aux allures étranges et aux couleurs variées qui nous introduisent encore plus dans cet univers onirique et coloré qui se met en place depuis 25 ans.
Un monde sensationnel où chaque recoin regorge de performeurs aux talents uniques et à l’identité particulière. Partir à l’EDC las Vegas, c’est partir ailleurs.  

Attention les oreilles
Oui l’onirisme du festival, c’est bien beau, mais si on y va, c’est quand même pour profiter des heures et des heures d’une musique qui nous passionne : l’électro. C’est un vrai bonheur de découvrir ou de redécouvrir des artistes qui semblent si lointains de nos contrées sur le vieux continent et qui pourtant demeurent des stars internationales.

Bon, si on a perdu quelques points d’audition dans cette quête de découverte, ce fut sans aucun doute, quelque chose que nous ne sommes pas près de regretter et d’oublier. On connaît tous l’amour que portent les Américains envers le spectacle et le grandiose. Il faut dire que cela va de même avec les sets qu’on a pu vivre.

En partant du simple EDM, au Dubstep en passant par la psytrance et la techno, il y en avait pour tous les goûts. Puis, on ne va pas se mentir, l’ampleur du festival fait que les artistes se donnent à fond pour satisfaire leur public, et on ne va pas s’en plaindre. Merci EDC Las Vegas !

Rendez-vous les 20, 21 et 22 mai prochains pour une édition 2022 grandissime. Et n’oubliez pas, comme dirait l’EDC, l’headliner le plus important, c’est vous !

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