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RECAP : RETOUR SUR LE PREMIER WEEKEND DE TOMORROWLAND 2022 !

Eh oui, après trois ans d’absence, la ville de Boom, en Belgique, revoyait son enfant prodige, Tomorrowland, revenir sur ses terres. Le festival légendaire a fait son retour sous le feu des projecteurs de la planète électronique ce week-end.

Pour fêter ce come-back tant attendu, les organisateurs ont vu les choses en grand avec un troisième week-end de rajouté. Avant d’entamer le deuxième, voici notre recap complet de ces quatre premiers jours de folie pure. 

Un line-up FOU

C’est un séjour électrique qui nous attendait du côté de la Belgique avec une programmation aux multiples styles et genres de musique électronique. De la hardstyle à la techno, en passant par la house, la psytrance, la trance, la dubstep, la Drum’n’bass et autres, c’est le monde de l’électro dans son ensemble qui était représenté sur les terrains lumineux de Tomorrowland à travers les labels stages dans lesquelles chaque label (Rampage, Coicidence, Q-Dance, Defected, parmi d’autres) posait sa pâte, ses artistes et son univers. Une organisation qui fait de ce festival, un événement unique auquel nous avions hâte d’assister.

Il faut dire qu’avant même d’avoir les pieds sur place, nous étions déjà très très emballés étant donné la programmation complètement démentielle. Comme à son habitude, Tomorrowland recevait les plus grands noms de la sphère électro, ainsi que de nombreux talents en provenance des quatre coins du globe. On retrouvait donc sur la programmation des têtes d’affiches telles que Dimitri Vegas & Like Mike, Alesso, Timmy Trumpet, Alok, Lost Frequencies, Angerfist, Martin Garrix, Marshmello, Lost Frequencies, Charlotte de Witte, Armin van Buuren, Nervo, Dirtyphonics, Afrojack, Adam Beyer, Brennan Heart, Act of Rage, Steve Aoki, Kolsch, Habstrakt, Hardwell, Kungs, Morten, NGHTMRE, R3hab, Sub Zero Project, Tale of Us, Virtual Riot, Vintage Culture, Vini Vici, W&W et on va s’arrêter là parce que si nous citons les plus de 800 artiste, nous n’allons pas nous en sortir.

C’était donc un line-up ultra chargé qui attendait les milliers de festivaliers euphoriques de parcourir les chemins de la terre de demain. Notons malgré tout, l’absence du roi français de l’électro, David Guetta, et de celui qui a rempli le Parc des Princes il y a quelques semaines de ça, DJ Snake.  

Une ambiance (f)estivale

Au loin, les cris s’élèvent, la musique résonne et les frissons commencent à parcourir notre corps. Tous les ans, c’est une ambiance particulière qui envahit ce festival mythique, mais cette année, après trois ans d’absence, c’était quelque chose de différent. Le manque de musique et de s’échapper dans ce monde magique qu’est Tomorrowland s’est fait sentir.

Cette réunion de tous les pays représentés par les milliers de drapeaux flottant au vent et aux décibels qui parcouraient l’air belge, prouve la renommée mondiale de l’événement. Chaque visage était marqué par un sourire, et c’est bien normal ! Comment ne pas l’être puisqu’il est quasiment impossible d’être déçu étant donné que si vous aimez l’électro, c’est une certitude que vous trouverez chaussure à votre pied et note à votre oreille pour profiter d’un week-end fabuleux.

Toute cette ambiance serait impossible sans la magnifique mise en scène du festival. Chaque recoin regorge d’un univers dont Tomorrowland a le secret. Entre décors de folie et ambiance estivale, tout semble parfait. Et puis, si la faim vous envahissait durant un set, pas de panique, une quantité monstrueuse de fast-food vous attendait pour vous satisfaire. 

Parlons des scènes maintenant. Cette année, elles étaient 15 à faire notre bonheur et à nous en mettre plein les yeux et les oreilles. Concernant la Mainstage. Avec le thème de cette année, « Reflexion of Love », la scène principale était très différente de ce qu’on avait pu voir au cours des éditions précédentes. Avec un thème tournant autour de l’astronomie et de l’espace, nous nous sommes retrouvés face à une stage impressionnante de plus de 50 mètres de haut.

Simple et épurée, cette immense scène nous a rappelé que nous ne sommes rien face à la musique et l’univers. Au niveau des autres stages, deux scènes nous ont particulièrement marquées : la Core Stage sous son nouveau visage (littéralement) avec un énorme visage de femme aux apparences féériques, et la Freedom Stage avec un changement également : des papillons suspendus qui nous donnaient une impression de voler et d’évasion constante. Puis, il y avait la Rose Garden, la Harbour House, la Cage, The Rave Cave, la Youphoria, la Leaf, la Kara Savi, l’Atmosphere, la Core, la Crystal Garden, the Library ou encore la Moosebar.

Voilà. Maintenant, il faudra nous remettre de ce week-end somptueux et Tomorrowland doit d’ores et déjà se préparer à accueillir les milliers de festivaliers qui n’attendent qu’une chose : le week-end 2 ! See you soon, people of Tomorrow ! 

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