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Recap : Retour sur le Marvellous Island Festival 2021 !

La House et la Techno étaient à l’honneur ce week-end sur l’île des loisirs de Vaires-Torcy (77) pour le retour du Marvellous Island Festival après son édition 2020 annulée en raison de la crise sanitaire.

Mais, cette année, le virus n’aura pas eu raison de cet événement merveilleux qui a proposé une « Limited Edition » afin de s’adapter aux différentes mesures sanitaires imposées. En conséquent, le camping n’était pas de la partie pour cette année.

En revanche, ce qui était bien présent, c’est un line-up préparé aux petits oignons par les organisateurs. Au programme, Rødhåd, Stephan Bozdin, Gerd Janson, Trym ou encore le prodige français Thylacine

Pour cette édition 2021, le festival a maintenu son format open air et a gardé une ambiance estivale parfaite pour conclure notre été en toute beauté.
Les pieds dans l’eau et la musique dans les oreilles, c’est dans un décor idyllique que nous avons pu profiter de deux jours musicaux de midi à minuit sur trois stages plus solaires les unes que les autres.

Alors que la Beach Stage et la Digital Stage étaient chargées d’accueillir des artistes provenant de différents horizons, la Solar Stage avait pour rôle de mettre en valeur les talents franciliens. Une belle preuve de l’attachement aux prodiges locaux de demain (et d’aujourd’hui aussi). L’occasion donc de retrouver des artistes tels que Olympe4000, Döwel ou Di Cristo.

Parlons musique, parlons bien
Si la house et la techno étaient bel et bien le mot d’ordre de cette 9e édition, ces deux genres cachent une variété immense de sous-genres.
De quoi permettre aux stages de proposer une variété dans leurs styles. Un air très onirique s’est dégagé durant tout le week-end de la Beach Stage avec des artistes avides de mélodies.

Une scène parsemée de feuillages qui a accueilli des artistes tels que Stephan Bozdin, Thylacine, Vitess ou Sainte Vie qui ont déchaîné les foules et transporté les festivaliers à travers des sets desquels s’est dégagée une ambiance presque émouvante. De son côté, la Digital Stage n’a pas vraiment joué sur l’aspect mélodique de la musique.

Ce sont surtout des grosses basses et des kicks puissants de techno et house qui ont fait lever les poings des milliers de festivaliers présents devant la scène décorée de grands panneaux LED.
A leur tour, des DJ de renom comme DVS1, Darzack (en live Set) ou encore Trym ont diffusé une ambiance sombre et planante.
Pour résumer, deux salles, deux ambiances, et ça, on adhère et on adore ! 

Une ambiance savoureuse 
C’est l’instant philosophique de cet article. S’il y a une chose que l’on retient particulièrement de ce festival, c’est le fait qu’il s’agit, ici, d’une authentique réunion des amoureux de l’électro. Ce qui contraste avec d’autres événements (qui sont tout aussi bien, mais différents), c’est la musique qui en ressort.

Par rapport à ces autres festivals, le Marvellous Island rend hommage à un chapitre de la musique électronique qui n’est pas forcément présente sur les plus grandes scènes du monde car c’est une musique beaucoup plus underground qui est mise en avant. 

Dans cette optique, l’ambiance qui en ressortait, était une ambiance de passionnés, marquée par un amour incommensurable envers la techno ou la house.

Certes, sur les milliers de personnes présentes, certains n’étaient pas fous d’amour pour ce genre de musique, mais cela montre l’aspect encore plus fantastique de cet événement unique qui rassemble des personnes différentes unies avec un seul objectif : kiffer ! Les nombreux chanceux qui ont pu assister à la fête ont vraiment joué leur rôle qui est indispensable pour un festival réussi.  

Alors comment décrire ce festival en un seul mot ? Tout simplement : Merveilleux (oui, ce n’est pas original, mais bon). Donc rendez-vous l’année prochaine pour une 10e édition qui s’annonce emblématique ! #MarvellousIsland

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