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Recap : Retour sur l'édition 2021 de Dream Nation Festival !

Ce vendredi et samedi, le Dream Nation Festival, poids lourd de l’événementiel français, faisait son retour pour une 8e édition qui s’annonçait fantastique.

Cette année, le Parc des Expositions Paris Le Bourget s’est transformé en temple de l’électro pour un week-end, en accueillant des grands noms de la scène électronique qui se sont rassemblés avec un seul but : faire vibrer les milliers de festivaliers présents en leur offrant des sets d’anthologie. 

Sous le sceau de la diversité musicale, la Dream Nation a, comme à son habitude, réuni des horizons électro variés afin d’offrir aux nombreux chanceux, la possibilité de découvrir de nouveaux univers ou de s’extasier devant les artistes qu’ils aiment.

Ainsi, c’est un line-up éclectique qui avait vu le jour au cours des derniers mois et qui annonçait une édition 2021 très alléchante.

Au programme, 4 styles de musique distribués sur deux jours et trois stages différentes.

Le vendredi, les festivaliers ont pu profiter d’une scène dédiée à la Techno et une autre pour la Hard. Pour cette première soirée, les stages ont vu défiler des artistes tels que Manu le Malin, Jacidorex, Paula Temple, Warface, Mad Dog ou encore Pawloski.
Avec la présence du collectif parisien Newtrack sur la troixième scène.

Le samedi, ce sont deux nouveaux genres qui ont pris possession des lieux : la Trance et la Bass Music avec des artistes comme Phaxe, Otezuka, D. Carbonne, Doctor P, Dirtyphonics, et même Eptic. Avec la présence d'un autre collectif parisien Raw sur la troixième scène.

Vous l’aurez compris, c’est la musique électronique dans son aspect plural qui était à l’honneur pour cette 8e édition. 

Un rendez-vous immanquable
Si vous cherchiez un lieu tranquille pour passer votre vendredi et votre samedi soir, on avoue que ce n’était probablement pas le meilleur endroit. Mais, si vous étiez à la recherche d’aventure sonore et de souvenirs inoubliables, c’était le lieu rêvé. Alors oui, qui dit changement de lieu, dit changement de mise en scène.

Cette année, c’est à travers une scénographie sobre, que le festival a vu le jour. Si le spectacle n’était pas forcément présent au niveau visuel, les organisateurs ont fait un très bon travail en proposant une programmation idyllique.

Et puis la Dream Nation est restée très fidèle à ses éditions précédentes en mettant en place un monde onirique et immersif pour que les festivaliers vivent une réelle expérience sensorielle. (Par ailleurs, mention spéciale aux foodtrucks présents en nombre dans le festival, qui ont proposés des prix corrects pour satisfaire les festivaliers assoiffés et affamés par la musique).

Animés par leur propre univers, les nombreux artistes présents ont conquis le festival à travers des sets musicalement incroyables.

On peut par exemple citer le closing de la Bass Music Stage. Alors que celui-ci devait de base être fait par Trampa et Badklaat, il a été finalement réalisé par les Dirtyphonics & Friends et c’était tout simplement mythique, presque insolent.

Les frenchys ont tout simplement fait exploser la stage le samedi soir en compagnie d’artistes tels que Samplifire, Graphyt, Ecraze, Evil Noiz ou encore Niveau Zero qui ont détruit les tympans de milliers de festivaliers rassemblés devant la scène pour une réunion qui s’est produite bien loin de l’endroit que l’on appelle la tranquillité. 

Si la Bass Stage (notre petite préférée) a forcément conquis les cœurs électroniques, les autres stages n’ont pas démérité. Pendant deux soirs d’affilés, le Parc des Expositions s’est séparé de la terre pour transporter les festivaliers et les artistes dans un monde électro incroyable grâce à des sets de folie comme celui de Paula Temple en B2B avec SNTS sur la Techno Stage, de Pawloski sur la New Track Stage ou de Warface sur la Hard, qui au passage s’est vu marqué par des kicks ultras puissants qui nous ont fait extrêmement plaisir. 

(la parenthèse sanitaire) Il faut malheureusement en parler, car le contexte sanitaire impose des restrictions bien précises et on peut dire que le festival a bien su s’adapter au contexte avec ce nouveau format Open-Air.

Les pass sanitaires étaient bel et bien obligatoires pour pouvoir accéder à l’événement même cela n’a pas réellement freiné l’entrée qui s’est faite de manière fluide et très rapide. 

Une seule chose reste à dire : préparez-vous. Car l’année prochaine, la Dream Nation revient encore plus forte et puissante pour sa 9e édition. Be ready for the Dream ! Rendez-vous en 2022 ! 

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